Prométhée, tome 4 : Mantique de Christophe Bec, Alessandro Bocci et Sefano Raffaele

Suite de la série fantastique de Bec ! Quelle nouvelle catastrophe plongera plus encore notre civilisation dans les ténèbres ? La série de phénomènes inexpliqués qui frappent la planète jour après jour semble présager le pire pour l’Humanité : disparition de la navette Atlantis, arrêt des horloges, crash des avions et des satellites orbitaux… Alors que les États-Unis sont accusés de vouloir installer un nouvel ordre mondial, Jeff Spaulding, directeur de vol à la NASA, accède à des documents secrets qui prouvent la découverte sur la Lune d’un gigantesque vaisseau spatial extraterrestre. Parallèlement, dans le journal de bord du capitaine du Titanic - revenu à la surface dans un état quasi neuf - on retrouve d’étranges coordonnées qui semblent indiquer un point au large des Bahamas : un trou bleu ! Une équipe de spécialistes sera constituée pour plonger dans le mystérieux gouffre…

C'est toujours avec un grand plaisir que je me plonge dans cette saga. La chronique va être courte car je suis déjà au tome 4 et que je vais commencer à me répéter.

Le monde entier continue à subir les catastrophes ayant lieu à 13h13 UTC. La théorie des extraterrestres se renforce et le véritable problème qui se pose, c'est de savoir quand les catastrophes vont-elles s'arrêter et quand la "rencontre" va-t-elle avoir lieu? La théorie du chiffre 13 est évoqué dans ce tome pour donner une date est un sens aux catastrophes.

L'étau se resserre et le suspense se fait de plus en plus insoutenable. Que va-t-il arriver à la Terre et à tous ses habitants ? Et ce n'est pas la dernière planche de ce tome qui va nous soulager.

Le scénario est toujours aussi bien construit et distille au fur et à mesure ses révélations. On commence un peu à entrevoir le rapport avec le personnage de Prométhée mais ça reste encore flou.

Les graphismes toujours pareils, mais meilleurs par contre que le tome 3.

Toujours un belle surprise qu'est cette série dont j'ai envie de connaître la fin mais que j'aimerai voir ne jamais s'arrêter.